La légende du onzieme fils

Depuis l’apparition des premiers démons, un être apparut un seigneur noir nommer Astek, mi-sorcier du chaos, mi-sorcier du bien, il était la destruction a l’état pur. Il asservit la population puis sentit le besoin de gouverner plus grand. C’est alors qu’il décida de se marier avec la sorcière des ténèbres, celle-ci une fois les enfants arriver a maturités aurait le droit a un souhait qu’elle qu’il soit. La sorcière accepta voyant l’incroyable pouvoir d’Astek, onze enfants virent le jour en cinq ans seulement, la sorcière accélérant leur croissance afin qu’il soit quasiment tous du même age affin de recevoir leurs vœux quasiment tous même temps.
A leur dix huit ans les onze enfants se rendirent dans la chambre du rituel avec leur mère afin de recevoir leur souhait.
Le premier souhaita que tous ne pouvait être vaincus, le second, souhaita que des cavaliers noirs sortit du chaos même les servent durant leur vie immortel, le troisième demanda un royaume, le quatrième avide demanda de l’or a volonté, le cinquième demanda a avoir le charme des dieux, le sixième demanda le pouvoir de multiplier les cavalier noirs, le septième demanda les pouvoirs parfait de la mort, le huitième demanda un corps jeune pour longtemps, le neuvième demanda l’immunité contre la magie blanche, le dixième demanda la maîtrise de toutes armes et tout objets magiques.
Quand au onzième, il sourit à ses frères, se tourna vers sa mère et dit :
- Moie je veux que ma ligne ainsi que moi, est le pouvoir de tuer mes frères et mon père.
La sorcière eu un léger sourire d’amusement puis exhaussa son vœux à lui aussi.

Les dix premiers fils devinrent les seigneurs noirs du monde d’anges et démons, mais le onzième mourut assez jeune assassiner. Il avait réussit avant de mourir a avoir une fille, celle-ci eu un enfant qui eu, a son tout un enfant puis la trace de cet enfant prodige se perdit dans le temps.

Cinq cent ans s’écoulèrent… Puis un demi ange fit son apparition, mi-humain, mi-ange, il avait de magnifique ailes rouge feu, les cheveux bruns clair et portait une magnifique armure. Mesurant dans les 1m90, il était fort, agile et d’une beauté sans égal. Il était arrivé par hasard à la ville d’Otror.
Cité maléfique contrôler par un seigneur noir, il fut rejoint par un esprit protecteur charger de veiller sur le propriétaire mort lors de tragique circonstance. Se trouvant la par hasard il avait hérité de l’auberge. Un commandant de gardes royale avait mit a son service son épée et ses hommes. Des mages du chaos et du bien le rejoinire, il bloqua les sorts les plus puissants des deux parties et les mages lui firent serment d’allégeance.

Il réussit par la force des chose a vaincre le premier seigneur noir, il était l’élue envoyer sur terre. Il était le descendant du onzième fils. Croiser avec toutes les races, et même la race divine, les anges de la cité volante, l’île des cieux.

Un mois après sa victoire d’autres se relirent à lui et les neuf seigneur noirs restant ainsi que Astek en personne vinrent le défié sur le champ de bataille devant le nouveau château du descendant du onzième fils. Ils avaient pour commencé envoyer un dragon noir et des milliers de zombies, Castelvanos (le descendant du onzième fils) équiper de son zanbâto bénit vint a bout des milliers de zombies et avec l’aide de ses hommes. Le dragon se courba devant lui et dit :
Toi le descendant du onzième fils je m’incline devant le plus puissants des seigneurs noirs, Castelvanos, seigneur blanc. - Accepte ma flamme et je te servirais fidèlement ainsi que mes descendant jusqu'à l’extinction de ma lignée.

- Sois le bienvenue ho dragon noir, pour sceller ce pacte, tu te nommera Dragounet, dragon noir du nouveau royaume d’Otror.

Il réussit a vaincre seul les autres seigneur noirs après que ceux-ci tuèrent son meilleur mage du bien.
Obtenant l’épée des anges de flammes purificatrice, il devint un roi, un seigneur bon et juste. Et c’est maintenant alors que beaucoup de démons parcourent la terre d’anges et démons que des épées et des aventuriers sont demandé affin de rétablir un équilibre partiel pour que la paix vienne enfin prendre la place du chaos.